Macky SALL à la Fondation Mo Ibrahim : l’aigreur des parasites, l’honneur d’un homme d’État

( Réponse aux 50 intellectuels et universitaires signataires de la tribune).
Qu’ils hurlent, qu’ils s’étouffent, qu’ils écrivent mille tribunes, ça ne changera rien : Macky Sall siège aujourd’hui au conseil de la Fondation Mo Ibrahim, parce qu’il l’a mérité. Point final. Ce n’est pas un caprice, c’est une consécration. Et ça, les donneurs de leçons, ces éternels frustrés de la République, ne le digèrent pas. Parce qu’au fond, leur problème n’est pas Macky Sall , leur problème, c’est leur propre insignifiance.
Ces “experts”, ces moralisateurs à la petite semaine, qu’ont-ils fait pour ce pays ? Rien.
Ils n’ont jamais rien produit. Jamais rien construit. Jamais rien risqué. Mais ils osent vomir sur le parcours d’un homme qui, pendant plus d’une décennie, a tenu le gouvernail d’un Sénégal stable, debout, respecté.
Pendant qu’ils s’écoutaient parler dans des colloques stériles, Macky Sall lançait le PSE, attirait les investissements, électrifiait les villages, construisait des routes, posait les rails du progrès. Ils n’ont pas levé le petit doigt, mais ils se croient légitimes pour juger. Quelle imposture.
Le report de l’élection ? Ils en ont fait un drame pour masquer leur vide.
Oui, le calendrier a vacillé. Et alors ? L’élection a eu lieu. Le pouvoir a été transmis. Aucune bavure, aucun coup d’État. Mais ça, ils s’en fichent. Parce que la vérité ne les intéresse pas. Ce qu’ils veulent, c’est exister. Capter l’attention. S’inventer une posture d’opposant éclairé quand ils ne sont que des figurants amers du débat national.
Leur parole est creuse, leur indignation est feinte, leur critique est une opération de vengeance déguisée.
Macky Sall n’est pas un saint. Il n’a jamais prétendu l’être. Mais il a gouverné, assumé, construit.
Il est aujourd’hui reconnu à l’échelle continentale pour ce qu’il est : un homme d’État, pas un bavard. Sa nomination à la Fondation Mo Ibrahim est un symbole fort : la compétence, la vision, la maîtrise ont encore de la valeur.
Et si cela dérange certains petits chroniqueurs du dimanche, qu’ils s’y fassent. Leur fiel n’effacera jamais les faits.
Alors qu’ils retournent à leurs claviers, à leurs conférences où ils s’écoutent s’admirer. L’histoire, la vraie, celle qui compte, continuera de s’écrire sans eux.
Mamadou Cissé